lundi 4 juillet 2011

TESTE POUR VOUS : SE NOURRIR A TOKYO SANS PARLER JAPONAIS

Comment se nourrir à Tokyo sans parler japonais ? Ce n'est pas trop compliqué si on est un peu débrouillard. Plusieurs options s'offrent à vous.

1 - Vous allez manger avec des Japonais (il fallait y penser !) ; ceci fera l'objet de mon prochain post.

2 - Vous essayez de vous faire comprendre - grâce à un mélange de langage des signes et d'anglais (peu parlé ici) - comme je l'ai fait à Mitaka afin d'acheter de quoi pique-niquer au Parc Inokashira. J'ai juste expliqué que je voulais quelque chose à emporter ("take out" ici, pas "take away" !). La dame m'a montré du pain. J'ai dit oui. Elle m'a montré un tableau pendu avec des inscriptions japonaises (la liste des ingrédients disponibles je suppose) et a tenté de me l'expliquer. Rien compris mais j'ai dit ok quand j'ai saisi le mot "jambon" en anglais. Et j'ai obtenu ceci : un délicieux pain cuit devant moi dans lequel il y avait du jambon, deux sauces indéfinissables et plein de légumes.


3 - Vous faites des courses : c'est ce que je devais de toute façon entreprendre comme mission car il me fallait de quoi petit déjeuner et partir en randonnée au Mont Takao le 5 juillet. Pour l'instant je n'ai pas pris de grands risques en faisant mes achats de nourriture : soit des aliments clairement identifiables, soit des emballages avec des dessins, soit des paquets avec explications en anglais.


4 - Vous choisissez un resto qui dispose d'une vitrine où le chef annonce sa carte en présentant des maquettes en plastique de ses plats. C'est très répandu ici.


5 - Vous optez pour une autre version assez proche : le resto ayant sa carte en photos.


Enfin, ne jamais oublier de boire par cette chaleur mais on aurait du mal vu le nombre de distributeurs de boissons qu'on trouve à (presque) chaque coin de rue et même dans les parcs.


A noter que ce n'est quand même pas gratuit et qu'on a tout intérêt à s'acheter des bouteilles dans les grands magasins (depato, de l'anglais Department Store) ou - mais c'est déjà plus cher - dans les petits magasins (konbini ou combini, de l'anglais Convenient Store) qui ressemblent un peu aux dépanneurs québécois. J'en profite pour vous montrer à quoi ressemble l'argent japonais (yens) :

6 commentaires:

  1. Aïe, je sens qu'aucune de ces méthodes ne me conviendrait. Je mourrais lamentablement de fin dans un parc bondé d'écureuils qui viendraient recueillir mon dernier soupir !!!

    RépondreSupprimer
  2. Hooo, quant à moi, j'adorerais! J'ai toujours trouvé que les vacances, c'est l'occasion de goûter tout ce qu'on ne connaît pas (ou qu'on n'a pas chez nous). Donc, je serais comblée :-) Par contre, je ne vois pas dans ta liste l'option: rentrer dans un resto et pointer un truc au hasard sur le menu :-)

    RépondreSupprimer
  3. Ce sera la prochaine étape... Dans un ou deux jours ;-)

    RépondreSupprimer
  4. quant a moi, le temps de commander mon premier repas on serait deja au 2e, 2 heures apres... :-)

    RépondreSupprimer
  5. Pourquoi la bouffe est-elle si importante dans les voyages ? Good travel !

    RépondreSupprimer
  6. Il n'y a pas qu'en voyage, Jean-Ga, c'est toujours important pour moi ;o)

    RépondreSupprimer